� La puce Monarch de Sequans Communications pourra �quiper ces divers dispositifs d�s la mise en route des r�seaux de Cat�gorie M, pr�vue plus tard cette ann�e ou d�but 2017 �, a indiqu� l�entreprise. Les objets connect�s n�ont pas besoin des d�bits offerts par les r�seaux de t�l�phonie mobile. Personne ne va utiliser son objet connect� pour regarder des vid�os en haute d�finition ou jouer � des jeux-vid�o. Par contre, personne n�ira non plus les recharger en fin de journ�e. Ces objets peuvent se contenter de connexions plus lentes, moins gourmandes en �nergie. Car ils doivent aussi �tre capables de tenir longtemps : certains appareils doivent pouvoir fonctionner pendant 10 ans, sans qu�il soit n�cessaire de changer leur batterie.Ces derni�res ann�es, de nouveaux venus comme Sigfox, Ingenu et LoRa Alliance sont arriv�s sur ce march� sp�cifique des Low Power Wide Area Networks (LPWAN) ou r�seaux de faible puissance �tendus, lequel laisse entrevoir des perspectives extr�mement profitables. D�apr�s Machina Research, ce type de r�seau g�n�rera pr�s d�1,5 milliard de connexions d�ici 2020. C�est le 3rd Generation Partnership Project (3GPP), l'organisme international auquel on doit le LTE, qui a adapt� la norme en vigueur dans les r�seaux mobiles, en conservant ses principales caract�ristiques. Avec la norme LTE-M, les op�rateurs pourraient plus facilement connecter les nouveaux dispositifs en appliquant simplement une mise � jour � leur logiciel r�seau.
� Le 3GPP permet aux concurrents de prendre une longueur d'avance dans ce domaine, mais il est encore temps de profiter des opportunit�s offertes par le LTE de Cat�gorie M �, a d�clar� par courriel Godfrey Chua, analyste de Machina Research. L�IoT est encore � ses pr�mices. Certaines r�gions du monde et certaines industries commencent tout juste � s�y int�resser. Mais le LTE-M doit encore prouver qu�il fonctionne aussi bien que pr�vu. � Les sp�cifications techniques sont une chose, mais c�est autre chose de montrer que tout se passe comme promis sur le terrain �, a-t-il ajout�.Sequans a d�j� au moins un partenaire pour soutenir le d�veloppement de la LTE-M, � savoir l�op�rateur Verizon. Les deux entreprises avaient d�j� travaill� ensemble sur la technologie LTE de Cat�gorie 1, un standard plus ancien utilis� pour certains appareils comme les distributeurs automatiques de billets, les terminaux de point de vente et les syst�mes t�l�matiques embarqu�s. C�est � la suite de ce partenariat que Verizon a ajout� la Cat�gorie 1 � son r�seau. La puce de Sequans Monarch est conforme aux deux variantes de la cat�gorie M. La premi�re, la cat�gorie M1, offre une vitesse de t�l�chargement de 375 Kbp/s. La Cat�gorie M2, encore plus lente et moins gourmande en �nergie, peut t�l�charger des donn�es � 55 Kbp/s. � noter que les appareils � la norme LTE-M2 envoient plus de donn�es qu'ils n�en t�l�chargent, et sont donc un peu plus rapides en amont. Selon Sequans, la norme M1 est quasiment achev�e et la norme M2 devrait �tre achev�e d'ici le milieu de l�ann�e. Cela fait un certain temps que les ing�nieurs travaillent sur le standard M2, d�velopp� auparavant sous la d�nomination de NarrowBand-IoT.
En plus des compteurs et des objets portables, les moniteurs de sant�, les �quipements domotiques et les dispositifs de suivi pourront aussi utiliser les r�seaux M1 ou M2. � Gr�ce � la technologie de gestion de l'alimentation mise au point et int�gr�e par Sequans dans la puce Monarch, les petits appareils pourront fonctionner pendant 10 � 15 ans avec la m�me pile �, a affirm� Sequans. L�entreprise de s�curit� num�rique Gemalto s�est �galement associ�e avec Sequans pour d�velopper des modules LTE M1/M2 qui ajoutent des fonctions sp�cifiques � la puce Monarch. Mardi, Gemalto a �galement annonc� la sortie de modules LTE de Cat�gorie 1 pour la puce de Sequans. Ces nouveaux modules permettent � la puce de basculer sur un r�seau 2G ou 3G dans le cas o� le LTE de Cat�gorie 1 ne serait pas disponible.
L�am�lioration de la s�curit� dans les entreprises passe par des bonnes pratiques comme le recours � des clefs USB chiffr�s pour transporter ou �changer des documents sensibles. Plusieurs acteurs comme Sentry, Symphonie Secure Key ou IronKey se partagent ce march� appel� � grandir dans les prochaines ann�es. Et c�est justement IronKey qui vient de tomber dans l�escarcelle de Kingston Technology. Imation, qui avait achet� IronKey en 2011, n'a pas divulgu� les d�tails financiers de cette revente.IronKey est bien connu pour ses clefs USB qui utilisent des algorithmes de chiffrement AES 256 bits pour s�curiser les donn�es et un bo�tier en acier inoxydable tr�s difficile � ouvrir sans abimer les composants NAND flash. Les p�riph�riques de stockage s�curis�s d�IronKey sont certifi�s par le National Institute of Standards and Technology (NIST) am�ricain pour r�pondre � la tr�s stricte norme FIPS 140-2. Combin�e avec l'IronKey Enterprise Service (un outil de gestion en mode cloud), la s�curit� des donn�es peut �tre g�r�e et v�rifi�e un peu partout dans le monde. Mais le prix de ses produits est particuli�rement �lev�, � savoir 599$ HT pour une clef USB de 32 Go. Une alternative fran�aise comme Symphonie Secure Key (de 8 � 64 Go), con�ue par Gemalto, permet �galement de s�curiser le transport et l��change de donn�es sensibles gr�ce � un chiffrement AES 256 bits. Il est �galement possible d�utiliser une carte � puce certifi�e par l�ANSSI pour valider des signatures �lectroniques, des acc�s https avec certificat serveur et client�
Kingston, qui a une ligne de disques durs portables chiffr�s depuis le lancement de son produit DataTraveler il y a plus de 10 ans, a d�clar� qu�IronKey est l'une des � grandes marques de clefs USB crypt�es [�] L'ajout et l'int�gration de la marque IronKey � notre propre ligne de cl�s USB chiffr�es DataTraveler apportent une solution chiffr�e sur plusieurs niveaux � nos clients qui veulent prot�ger leurs donn�es mobiles � a indiqu� Valentina Vitolo, directeur produit chez Kingston, dans un communiqu�. Dans sa derni�re �tude The State of Encryption, l'�diteur de s�curit� Sophos montre une mont�e en puissance de l'usage du chiffrement au sein des entreprises dans le monde, 79% d'entre elles �tant pr�tes � en accro�tre l'usage. Si dans les secteurs de la finance, des t�l�coms et de l'IT le chiffrement est tr�s utilis� pour prot�ger les donn�es sensibles, ceux du commerce et de la distribution, de la sant� et de la fabrication sont � la traine.
Dans l'arsenal des solutions de s�curit� mis en place par les entreprises pour lutter contre les cybermenaces en tous genres - au premier rang duquel le vol des donn�es - le chiffrement constitue une arme relativement efficace. On apprend ainsi d'apr�s la derni�re �tude men�e par Sophos The State of Encryption men�e aupr�s de 1 700 d�cisionnaires IT dans le monde, que les entreprises ne rechignent pas � le mettre en place. Mais � des degr�s divers selon les secteurs toutefois. Ainsi, alors que le chiffrement est intens�ment utilis� dans la finance (58%), les t�l�communications et l'IT (56% chacun), certains sont � la tra�ne. C'est en particulier le cas parmi les entreprises dans le domaine - pourtant � combien sensible - de la sant� (seulement 31% d�clarant faire un usage intensif du chiffrement), mais aussi de la fabrication (34%) et du commerce/distribution (38%). C'est par ailleurs dans ces trois derniers secteurs que l'on trouve les plus forts taux de r�pondants n'ayant aucun projet de chiffrement en vue.
Parmi les plateformes b�n�ficiant toujours d'un chiffrement, les serveurs arrivent en t�te (70%), suivi par les PC fixes (66%), PC portables (60%), Mac (43%), smartphones et tablettes (29% ex aequo). Concernant les types de donn�es le plus souvent chiffr�es, on trouve - sans surprise - celles relatives aux clients (76%), aux informations de paiement (75%) mais aussi aux informations financi�res (70%) et bancaires (69%). Arrive ensuite derri�re les donn�es de propri�t� intelectuelle (59%), RH (57%), sant� (53%) et toutes celles cr��es par des employ�s (40%).Parmi les 1 700 r�pondants � l'�tude men�e par Sophos (r�partis entre les Etats-Unis, Canada, Inde, Australie, Japon et Malaisie), 79% pr�voient par ailleurs d'�tendre l'usage du chiffrement dont 36% d'ici un an, 33% entre 1-2 ans et 13% entre 2-3 ans. Interrog�s sur les principales barri�res � la mise en place du chiffrement, les d�cideurs IT mettent en avant le manque de budget (37%), les soucis de performance (31%) ou encore les manques de connaissance en mati�re de d�ploiement de chiffrement (28%).
En lan�ant sa plateforme Workspace One, VMware esp�re r�pondre aux besoins des entreprises pour s�curiser des environnements de travail de plus en plus ouverts aux terminaux mobiles et au cloud. Le sp�cialiste en virtualisation en profite pour livrer les derni�res versions de ses offres Horizon en gestion d'applications et bureaux virtuels.
La brique SSO Identity Manager incluse dans Workspace One de VMware permet aux utilisateurs d'acc�der seulement aux applications auxquels ils peuvent acc�der en fonction de leurs droits. (cr�dit : D.R.)
Dans l�entreprise, les demandes de mobilit� des salari�s sont souvent en conflit avec les exigences de s�curit� des administrateurs IT. Pour essayer de mettre fin � ce bras de fer, le g�ant de la virtualisation a d�ploy� hier sa derni�re plate-forme assortie de deux mises � jour clefs qui, selon VMware, permettra de satisfaire tout le monde en apportant plus de flexibilit� aux salari�s, et la s�curit� et le contr�le aux administrateurs IT.
D�velopp� pour r�pondre � la tendance du � bring your own device � (BYOD), l�outil Workspace One de VMware permet aux entreprises de g�rer en toute s�curit� des espaces de travail num�riques regroupant les terminaux, les applications et les services, gr�ce � un acc�s commun et une gestion unifi�e de l'identit�. Avec Single-Sign On Access par exemple, lequel utilise Secure App Token Systems pour l'authentification, les salari�s peuvent, d�s qu�ils se sont authentifi�s, se connecter en libre-service � la boutique d'applications personnalis�e de l�entreprise et choisir � peu pr�s n�importe quelle application mobile, cloud ou Windows. gestion unifi�e, de configurer eux-m�mes l�ordinateur portable, le smartphone et la tablette de leur choix - aussi bien leur terminal personnel que celui fourni par l�entreprise - et de l�utiliser imm�diatement. � S�ils apportent leur propre appareil, les salari�s peuvent choisir le niveau de services et de restrictions qui leur convient le mieux �, a pr�cis� VMware. Workspace One comprend une messagerie avec les fonctions courantes, un agenda, un carnet d�adresses, des contenus et des applications de chat, tous prot�g�s par des syst�mes de s�curit� transparents.(cliquez ici pour suivre le lien)