On ne peut pas analyser 650.000 courriels en huit jours estime Donald Trump
Le candidat r�publicain � l'�lection pr�sidentielle am�ricaine Donald Trump a d�clar� que sa concurrente d�mocrate Hillary Clinton �tait prot�g�e par un syst�me frauduleux. Il a ainsi r�agi � la lettre du directeur du FBI James Comey indiquant que l'enqu�te relative � l'usage d'une bo�te mail priv�e par Mme Clinton lorsqu'elle �tait secr�taire d'Etat ne n�cessite pas de poursuites. On ne peut pas analyser 650.000 courriels en huit jours. Ce n'est pas possible, a d�clar� M. Trump. Hillary Clinton est coupable. Elle le sait, le FBI le sait et le peuple le sait, il est donc temps de r�tablir la justice en se rendant aux urnes le 8 novembre. Donald Trump estime que l'affaire du serveur priv� de Mme Clinton est le pire scandale politique am�ricain depuis le Watergate, et en a une nouvelle fois profit� pour attaquer Hillary la crapule.
Nous sommes contents que cette affaire soit r�gl�e, a d�clar� sa directrice de campagne Jennifer Palmieri � bord de l'avion de Mme Clinton.Mme Clinton n'a pas mentionn� ce rebondissement dans son meeting, et s'est tenue � son script habituel dans cette derni�re ligne droite fr�n�tique, o� les deux candidats multiplient les meetings pour convaincre leurs �lecteurs d'aller voter. Elle ne devrait d'ailleurs plus aborder le sujet avant l'�lection, pr�f�rant se concentrer sur son message positif pour le pays.M. Comey avait stup�fi� le monde politique en annon�ant vendredi dernier une ramification � l'enqu�te sur le serveur priv� utilis� par Mme Clinton quand elle �tait secr�taire d'Etat. De nouveaux emails, d�couverts sur l'ordinateur portable d'Anthony Weiner, le mari (s�par�) d'une proche collaboratrice de Mme Clinton Huma Abedin, ont depuis �t� examin�s. Nous avons revu toutes les communications qui venaient d'Hillary Clinton ou lui avaient �t� envoy�es lorsqu'elle �tait secr�taire d'Etat, et apr�s cet examen, nous n'avons pas chang� nos conclusions annonc�es en juillet concernant Mme Clinton, a d�clar� M. Comey dans un courrier � des �lus du Congr�s qui l'ont rendu public.
Dans la nuit du 8 au 9 novembre, LaLibre.be, l�IHECS, le BBB (Bruxelles Bondy Blog) et DH Radio s�associent le temps d�une nuit �lectorale am�ricaine afin de vous offrir la couverture la plus compl�te de cet �v�nement majeur de 2016. Les journalistes de La Libre, que ce soit depuis Bruxelles ou la Floride, vous donneront en temps r�el les derni�res informations et les cl�s n�cessaires � la compr�hension du scrutin pr�sidentiel qui oppose Hillary Clinton � Donald Trump. Dans le m�me temps, 35 �tudiants en journalisme de l�IHECS enrichiront cette couverture exceptionnelle de reportages vid�os, d�infographies dynamiques et de nombreux graphiques anim�s. Un �v�nement � suivre en direct sur tous nos supports, ainsi que sur les r�seaux sociaux de LaLibre.be et du BBB: Twitter, Facebook, WhatsApp, Instagram�Montasser AlDe'emeh a travaill� pour la S�ret� de l'Etat belge, affirme l'int�ress� dans une interview publi�e lundi dans De Morgen. Il a re�u une invitation en ce sens apr�s qu'il se soit rendu en 2014 en Syrie pour discuter avec un combattant flamand dans les rangs du front Al-Nosra. Ils �taient int�ress�s par mes contacts et ma documentation. Si je ne m'�tais pas propos� spontan�ment, ils auraient d� me suivre quotidiennement et hacker mon GSM et mon ordinateur portable. Cela aurait �t� beaucoup plus compliqu�.
Le secret demeure sur ce que repr�sentait exactement M. AlDe'emeh pour la S�ret� de l'Etat. Il a pr�tendu pendant un an et demi avoir de l'empathie pour les combattants du groupe terroriste Etat islamique (EI). Mais via moi, ils �taient directement en contact avec la S�ret� de l'Etat.M. AlDe'emeh a affirm� � la police et au juge d'instruction qu'il avait collabor� avec la S�ret� de l'Etat apr�s son arrestation en janvier. Il �tait soup�onn� d'avoir d�livr� une fausse attestation de d�radicalisation. Je n'aurais pas d� faire �a, cela a �t� une p�riode difficile pour moi, confie-t-il.Un professeur de math�matiques a �t� suspendu d'un lyc�e californien apr�s avoir �t� surpris par ses �l�ves en train de consulter des sites de lingerie qu'il projetait sans le savoir � toute la classe sur le grand �cran derri�re lui.Sur les images diffus�es par des �l�ves, le professeur contemple son �cran d'ordinateur, la t�te appuy�e sur la main, tandis que derri�re lui apparaissent des images de femmes en lingerie.Le principal du Lyc�e Mira Mesa de San Diego, en Californie, a indiqu� aux m�dias mercredi que l'enseignant, �galement professeur d'�ducation physique, avait �t� suspendu.
C'est lorsque certains des �l�ves qui avaient film� la sc�ne avec leurs t�l�phones portables ont mis les images en ligne que les responsables de l'�tablissement ont d�cid� de le suspendre et de pr�venir les parents.Un ordinateur portable vol� ? Une tablette qui part en fum�e lors d�un incendie ? Ou encore un GSM qui a un petit ou un gros accident ? La compagnie Ethias a lanc� fin 2014 une assurance digitale Digital omnium couvrant de tels sinistres.Le prix n�est pas, en soi, donn� : la prime est de 250 euros par an, sauf si vous poss�dez d�j� une assurance habitation aupr�s d�Ethias. C�est alors un montant plus raisonnable de 125 euros. La plupart des contrats souscrits depuis lors le sont justement en compl�ment de l�assurance habitation.La Cour p�nale internationale (CPI) a d�clar� mercredi l'ancien vice-pr�sident congolais Jean-Pierre Bemba et ses quatre co-accus�s coupables de subornation de t�moins afin d'obtenir son acquittement dans son proc�s pour crimes de guerre et crimes contre l'humanit�.
M. Jean-Pierre Bemba Gombo, la chambre vous juge coupable d'avoir influenc� de mani�re corrompue quatorze t�moins, pr�sent� de fausses preuves et sollicit� la d�claration de faux t�moignages, a d�clar� le juge Bertram Schmitt, d�non�ant les s�rieuses offenses contre l'administration de la justice.Jean-Pierre Bemba, ses avocats Aim� Kilolo et Jean-Jacques Mangenda, ainsi que Fid�le Babala, un d�put� du parti Mouvement de Lib�ration du Congo (MLC), et un t�moin de la d�fense, Narcisse Arido, avaient vers� de l'argent et donn� des cadeaux � des t�moins ou leur avaient promis une r�installation et une s�curit� en �change d'un faux t�moignage devant la CPI.Il s'agit du premier proc�s pour subornation de t�moins de l'histoire de la CPI, lanc� apr�s que le bureau de la procureure a re�u une information de la part d'une source anonyme.Aucun syst�me l�gal au monde ne peut accepter que des t�moins soient soudoy�s, incit�s � mentir ou brief�s. Le jugement d'aujourd'hui envoie un message clair : la Cour refuse que ses proc�dures soient frein�es ou d�truites, a ajout� M. Schmitt � la lecture du verdict.L'ancien riche homme d'affaires de 53 ans a �t� condamn� en juin � 18 ans de prison pour la vague de meurtres et de viols commis par sa milice, le MLC, en Centrafrique entre octobre 2002 et mars 2003.
Celui qui est surnomm� le Mobutu miniature a interjet� appel de sa condamnation fin septembre, d�non�ant les vices de forme de son proc�s et �voquant notamment l'arrestation de son avocat durant le proc�s.L'ancien chef de guerre et ses deux avocats ont mis sur pied un plan commun pour duper la chambre, a soulign� le juge.Les accus�s utilisaient un langage cod�, faire la couleur signifiant soudoyer ou briefer des t�moins.Aim� Kilolo �tait charg� de leur donner les instructions: Voici ce que tu diras, Dis que tu ne sais rien � ce sujet, Personne de la d�fense ne t'a appel�.L'avocat a �galement effectu� ou facilit� le transfert d'argent, de t�l�phones et d'ordinateurs portables aupr�s des t�moins.Les juges de la chambre charg�e du proc�s pour crimes de guerre et crimes contre l'humanit� ont pu ne pas avoir suivi les d�positions de ces t�moins mais bien la conception de d�position de M. Kilolo, a constat� M. Schmitt.
Fid�le Babala a encourag� M. Bemba � assurer le service apr�s-vente: Il est bon de donner du sucre aux gens, lui avait conseill� le d�put� du MLC, faisant r�f�rence aux pots-de-vin.T�moin agissant comme interm�diaire, Narcisse Arido a recrut� quatre des quatorze t�moins corrompus, leur promettant la somme de 10 millions de francs CFA (environ 15.200 euros) et un d�m�nagement en Europe.Bemba avait beaucoup � perdre dans son proc�s, avait remarqu� � la fin du mois de mai Kweku Vanderpuye, membre du bureau de la procureure: sa fiert�, sa stature, sa r�putation, son pouvoir politique, la possibilit� d'une victoire lors des �lections pr�sidentielles, sa libert�.Pour son avocate Melinda Taylor, il n'avait fait que ce que ceux qui se d�fendent sont en droit de faire.La peine pour subornation de t�moins sera prononc�e ult�rieurement, avait indiqu� la Cour fin septembre.
Reconnu coupable des crimes de guerre et crimes contre l'humanit� en vertu du principe de la responsabilit� du commandant, M. Bemba a �t� condamn� � la peine la plus lourde jamais impos�e par cette juridiction, fond�e en 2002 pour juger les pires crimes commis � travers le monde. Ce jugement �tait �galement le premier de la Cour � avoir mis l'accent sur le recours au viol comme crime de guerre.La Cour p�nale internationale (CPI) a d�clar� mercredi l'ancien vice-pr�sident congolais Jean-Pierre Bemba et ses quatre co-accus�s coupables de subornation de t�moins afin d'obtenir son acquittement dans son proc�s pour crimes de guerre et crimes contre l'humanit�.M. Jean-Pierre Bemba Gombo, la chambre vous juge coupable d'avoir influenc� de mani�re corrompue quatorze t�moins, pr�sent� de fausses preuves et sollicit� la d�claration de faux t�moignages, a d�clar� le juge Bertram Schmitt, d�non�ant les s�rieuses offenses contre l'administration de la justice.
Jean-Pierre Bemba, ses avocats Aim� Kilolo et Jean-Jacques Mangenda, ainsi que Fid�le Babala, un d�put� du parti Mouvement de Lib�ration du Congo (MLC), et un t�moin de la d�fense, Narcisse Arido, avaient vers� de l'argent et donn� des cadeaux � des t�moins ou leur avaient promis une r�installation et une s�curit� en �change d'un faux t�moignage devant la CPI.Il s'agit du premier proc�s pour subornation de t�moins de l'histoire de la CPI, lanc� apr�s que le bureau de la procureure a re�u une information de la part d'une source anonyme.Aucun syst�me l�gal au monde ne peut accepter que des t�moins soient soudoy�s, incit�s � mentir ou brief�s. Le jugement d'aujourd'hui envoie un message clair : la Cour refuse que ses proc�dures soient frein�es ou d�truites, a ajout� M. Schmitt � la lecture du verdict.L'ancien riche homme d'affaires de 53 ans a �t� condamn� en juin � 18 ans de prison pour la vague de meurtres et de viols commis par sa milice, le MLC, en Centrafrique entre octobre 2002 et mars 2003.Celui qui est surnomm� le Mobutu miniature a interjet� appel de sa condamnation fin septembre, d�non�ant les vices de forme de son proc�s et �voquant notamment l'arrestation de son avocat durant le proc�s.
L'ancien chef de guerre et ses deux avocats ont mis sur pied un plan commun pour duper la chambre, a soulign� le juge.Les accus�s utilisaient un langage cod�, faire la couleur signifiant soudoyer ou briefer des t�moins.Aim� Kilolo �tait charg� de leur donner les instructions: Voici ce que tu diras, Dis que tu ne sais rien � ce sujet, Personne de la d�fense ne t'a appel�.L'avocat a �galement effectu� ou facilit� le transfert d'argent, de t�l�phones et d'ordinateurs portables aupr�s des t�moins.Les juges de la chambre charg�e du proc�s pour crimes de guerre et crimes contre l'humanit� ont pu ne pas avoir suivi les d�positions de ces t�moins mais bien la conception de d�position de M. Kilolo, a constat� M. Schmitt.Fid�le Babala a encourag� M. Bemba � assurer le service apr�s-vente: Il est bon de donner du sucre aux gens, lui avait conseill� le d�put� du MLC, faisant r�f�rence aux pots-de-vin.T�moin agissant comme interm�diaire, Narcisse Arido a recrut� quatre des quatorze t�moins corrompus, leur promettant la somme de 10 millions de francs CFA (environ 15.200 euros) et un d�m�nagement en Europe.
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